le lien envisageable entre toutes ces pratiques, le va-et-vient entre les objets, instruments « anciens » , digitaux et éléctroniques dit « modernes ».
La contrebasse dans l'espace de jeu, la caméra comme objet d’un Rituel, le micro, action du document et le stylo sont les capteurs et outils primordiaux
Jouer de manière vulgaire avec le mètre comme une unité de décadence, la pourriture des aliments et la conservation d’objets insolites (les objets non-domestiqués), chercher des langages ou des écritures inadaptés et déplacées, des contorsions corporelles et musicales dues aux spasmes de l’improvisation ce qui pourrait se traduire par un équilibre entre le corps stimulé et mécanique : détaché et indiscipliné.
Travailler à partir de récupérations tel que des objets utiles ou inutiles, des papiers, des documents sonores sur bande magnétique ou autres, des archives film, des appareils électroniques en bon ou en mauvais état de fonctionnement (je ne suis surtout pas un réparateur), ne pas réparer mais assimiler à ma poétique le « hasard » de la rencontre avec l’objet, faire l’expérience de l’improvisé dans sa démesure