UN MONDE ARGENTÉ

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Index

Avant-Propos

Pièces :

  1. Présentation
  2. La vie occupe tout l’espace disponible
  3. Nos œuvres tournent rapidement à la catastrophe
  4. Le sens de l’échec
  5. Le sol où nous vivons n’est quoi qu’il en soit qu’un champs de destructions multipliées
  6. L’économie se retrouve sous forme de graisse
  7. Pourrons-nous nous rendre les maîtres d’une œuvre si dangereuse ?
  8. Silence : Bruit
  9. Le plus grand désir
  10. Une folle exubérance
  11. A la recherche d'une intimité perdue
  12. Sacrifier - Travailler
  13. Sonner et jouer
  14. Une malédiction
  15. Per Sona I
  16. Les états d'improvisation avant la catastrophe
  17. Index des pièces

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Documentation

Laboratoire

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pièce n°7

< pièce n°6 - pièce n°8 >

Pourrons-nous nous rendre les maîtres d’une œuvre si dangereuse ?

7.1.1.1- 1 (07/2008) 22,9 mn DVD

« magnetic ladies »

Les passantes magnétiques

( anglais & français ) 22:54 - 2008 avec les passantes magnétique de Nîmes, France,
voix de Barbara Tyrell et Boris Belay, traduction simultanée de Michèle Coudriou,
camera de Emmanuel Waeckerle, réalisation, montage, musique, son et production
de Nicolas Gerber - filmé en France (2008), enregistré en Afrique du Sud (2001)

Une vidéo-performance autour de l'enregistrement et de la lecture des sons de la ville.

Je m'installe un après-midi de juillet dans une rue de Nîmes avec des magnétophones à bandes analogiques, des micros, des haut-parleurs, une table de mixage et des delays analogiques. J'enregistre les sons de la rue et les re-transpose dans un espace ininterrompu de 9 heures, « le temps de travail comme surface d'enregistrement ». Pendant ce temps, le défilement des passantes magnétiques à travers le dispositif d'enregistrement et de lecture - un défilé cinématique… En accord - sonore - avec un entretien réalisé en 2001 avec Barbara Tyrell, artiste sud-africaine de 92 ans - elle a passé la plus grande partie de sa vie à dessiner des coutumes d'hommes et de femmes dans les villages Zulu, elle se confie sur l'impossibilité de représenter la Beauté de ce Monde. Dans le défilement du temps, sans préparer et sans écrire, une ex-professeur d'anglais marseillaise, Michèle Coudriou, traduit en français - oralement et de simultanément - la voix de Barbara.